Pris un peu au hasard à la bibliothèque de Marsannay, un roman anglais : Une femme qui siffle, de A.S. Byat.
Je vais faire court car je n'ai pas pu aller au bout des 460 pages...
Pourtant l'histoire avait tout pour me plaire : beaucoup de personnages, se déroulant en Angleterre, témoignage d'une époque (fin des années 60), dans un milieu intello style David Lodge ...
Mais ... trop de personnages ! Après s'être rappelé des noms des copains de Fredericka, il faut se souvenir de ceux de la secte new age, puis des scientifiques spécialistes en escargots, des membres de l'Université, des étudiants hippies, des fous de l'asile, etc. Je n'en peux plus ! Et je n'ai toujours pas trouvé le lien entre ces différents groupes, après plus d'une centaine de pages.
Il faut aussi tenir le choc à la lecture de l'histoire de l'aliéné théologien et de son cheminement mystique, et à celle de la description des émissions de télé culturelles psychédéliques ... là j'ai craqué.Je crois que ce qui manque à ce livre, c'est un peu d'humour.
Sinon, c'est bien écrit.